Ce soir sur Chérie 25 La gloire de mon père avec Philippe Caubère un chef-d’œuvre du cinéma français qui laisse une empreinte à vie

En résumé

  • 🎬 La gloire de mon père
  • 📺 Sur Chérie 25 à 21h05
  • 📖 Adaptation cinématographique touchante de l’autobiographie de Marcel Pagnol, ce film nous plonge dans l’enfance provençale, entre souvenirs familiaux, nature et transmission de valeurs, porté par un casting remarquable et une mise en scène poétique.

La gloire de mon père, Marcel Pagnol, Yves Robert et la Provence enchantent votre soirée télé ce mercredi 24 juillet sur Chérie 25. Impossible d’évoquer le patrimoine du cinéma français sans citer ce classique touchant et vibrant, adaptation fidèle de l’autobiographie du célèbre écrivain provençal. Amoureux de cinéma, passionnés de littérature ou simples curieux en quête d’une échappée belle, laissez-vous happer ce soir par la magie d’un été pas comme les autres, où mémoire, famille et nature s’entrelacent pour offrir un pur moment d’émotion et de culture.

La gloire de mon père : un voyage nostalgique au cœur de l’enfance provençale

Diffusé à 21h05 sur Chérie 25, La gloire de mon père vous invite à suivre le jeune Marcel et sa famille lors de vacances qui changeront son regard sur la vie et sur lui-même. À travers la beauté brute des collines de Provence, Marcel découvre la chasse, le goût de l’aventure et surtout, la fierté filiale portée à incandescence par son père, Joseph. Ce récit d’apprentissage, minutieusement adapté par Yves Robert, brille par sa sensibilité et la justesse de ses portraits familiaux. On plonge, grâce à la voix-off poétique de Jean-Pierre Darras, dans une réminiscence où chaque odeur, chaque lumière, chaque cigale deviennent les notes d’une symphonie de souvenirs éternels.

La dimension autobiographique du film, inspirée des souvenirs authentiques de Marcel Pagnol, apporte une véracité et une tendresse rares. Le papa instituteur y incarne la droiture, la transmission de valeurs, l’enthousiasme républicain d’une France rurale idéalisée. Ce n’est pas un simple récit : c’est une quête identitaire et une déclaration d’amour pudique à la famille, à la nature et à l’éducation.

Le casting de La gloire de mon père : des acteurs remarquables pour un mythe cinématographique

Sous l’œil du cinéaste iconique Yves Robert, les comédiens font vibrer ce récit universel. Philippe Caubère impose une figure paternelle solaire et intransigeante, tandis que Nathalie Roussel donne une douceur bouleversante au personnage de la mère. Le jeune Julien Ciamaca, révélateur de fraîcheur, prête au petit Marcel cette innocence joyeuse qui fait de ce film un classique immédiat. À leurs côtés, Didier Pain et Thérèse Liotard composent des personnages secondaires inoubliables.

Pour Yves Robert, déjà reconnu avec Le grand blond avec une chaussure noire ou Un éléphant ça trompe énormément, ce film est une synthèse parfaite de ses thèmes de prédilection : la transmission, l’humour tendre et la célébration d’une certaine France rurale et fraternelle. Quant à Caubère, il creuse son sillon d’acteur populaire et marque le public de son charisme, tout en pudeur et intensité.

  • Philippe Caubère : une révélation, un père inoubliable qui transcende l’écran.
  • Julien Ciamaca : premier grand rôle et incarnation idéale de la jeunesse Pagnolienne.

Héritage de La gloire de mon père : patrimoine, culture et anecdotes cinéphiles

Dès sa sortie en 1990, La gloire de mon père est couronné de succès. Plusieurs millions d’entrées et un statut de film culte presque instantané, tant auprès des critiques qui saluent la fidélité à l’œuvre d’origine, qu’auprès du grand public, touché par la sincérité du propos et la beauté de la mise en scène. Les notes flirtent avec la perfection sur toutes les plateformes de référence, et le duo formé par ce film et sa suite, Le château de ma mère, s’installe durablement dans la mémoire collective.

Ce n’est pas un hasard si chaque année, des classes entières découvrent le film en guise de porte d’entrée vers l’univers littéraire de Pagnol. Il n’est pas seulement un récit d’apprentissage : il façonne la représentation d’une France rurale, idéalisée mais profondément humaine, où chaque spectateur retrouve un peu de soi, de ses racines, de ses rêves d’enfant.

Ancrage en Provence et anecdotes de tournage

Pour les amoureux de détails et de « fun facts », saviez-vous que la vraie maison des Pagnol se visite encore aujourd’hui, à La Treille près de Marseille, et que le compositeur Vladimir Cosma signe ici une bande originale qui évoque instantanément les collines et la chaleur des étés du Sud ? Les paysages traversés par la caméra sont ceux-là mêmes décrits dans les livres, renforçant l’authenticité et le charme du film.

La dimension « madeleine de Proust » du film ne faiblit jamais : chaque plan, chaque réplique – du mythique « Bartavelle » aux dialectes savoureux – dialogue subtilement avec notre propre nostalgie. Chez les cinéphiles, le succès de La gloire de mon père est aussi l’occasion de débattre du rapport nostalgique à l’enfance et de la force de l’autobiographie dans le patrimoine audiovisuel.

Ne ratez pas La gloire de mon père sur Chérie 25 : un film intergénérationnel

Que vous connaissiez déjà l’œuvre de Pagnol ou que vous la découvriez ce soir, La gloire de mon père demeure une référence incontournable. Ce film, à la fois simple et universel, porte avec lui une part de notre histoire commune, et réunit toute la famille autour d’un récit aussi lumineux qu’émouvant. Laissez-vous transporter à travers la garrigue, redécouvrez la magie du cinéma français, et partagez ce moment hors du temps, devant un monument de tendresse, d’humour et de poésie.

Quel aspect de La gloire de mon père vous émeut le plus ?
La relation père fils
Les paysages provençaux
La nostalgie de enfance
La transmission des valeurs
La poésie des souvenirs

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